communaute de communes - Remiremont Renaissance

CRÊCHES

Publié le 28 mars 2014

Une pétition circule actuellement sur internet en faveur de crèches écologiques. Très bien, pourquoi pas ?

Mais à REMIREMONT, la question est plus cruciale. La Communauté de Communes, Président DIDIER Jean-Paul, a créé une crèche, pardon, une "halte-garderie", savez vous où ? Aux étages supérieurs du bâtiment Maxonrupt, c'est à dire à l'endroit le plus dangereux qui se puisse trouver.

Sans doute le Maire-Président n'a t il jamais entendu parler du CES Pailleron, un établissement parisien où la chorale répétait dans une salle du dernier étage et où un incendie s'est déclaré aux étages inférieurs, interdisant l'évacuation. Peu ont survécu et l'Education Nationale a décidé la pure et simple suppression de ces établissements dangereux.

Et la crèche de Remiremont a connu un accident qui, par miracle, n'a pas tourné à la catastrophe : le plafond s'est effondré. Heureusement, les gosses n'étaient pas dans cette salle à ce moment-là.

Et avec un bel entêtement, Jean-Paul DIDIER a maintenu la crèche au même endroit.

Mais comme en plus cet établissement ne couvre pas entièrement les besoins (personnels de l'hôpital, des grandes surfaces, entre autres ) , il faut revoir la question de fond en comble.

Et comme disait le grand Einstein " pour résoudre un problème, ne faites pas appel à ceux qui l'ont créé ".

Suivons Einstein, remplaçons DIDIER.

Daniel LALLEMANT

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SILLON LORRAIN

Publié le 26 mars 2014

Plusieurs colistiers de REMIREMONT RENAISSANCE étaient présents hier soir à la réunion publique de Bernard GODFROY, qui a rassemblé un public si nombreux qu'il a fallu changer de salle. Vu également plusieurs membres actifs de l'UMP, ce qui démontre amplement que cette liste n'est pas "de gauche" mais équilibrée et - c'est à noter - très consciente des problèmes et de l'avenir de REMIREMONT.

La propagande de DIDIER sur gauche et droite fait "pschitt" et d'ailleurs à REMIREMONT comme partout, la politique politicienne, les gens n'en veulent plus.

Ce qui est surtout réconfortant, c'est que le développement économique , qui est la base de tout, a été longuement abordé, alors qu'avec DIDIER, c'était "silence radio" même au niveau de la communauté de communes, dont c'est une compétence obligatoire. Rien d'étonnant à ce qu'aucune entreprise ne se soit implantée, privant les actifs, notamment les jeunes d'emploi et de travail. Ceux qui ne chôment pas ? Ce sont les gens de Pôle Emploi....

Une mesure est urgente : demander l'intégration du "Pays" de REMIREMONT au " Sillon Lorrain ", cette aire métropolitaine qui va de THIONVILLE à ÉPINAL mais néglige le Sud-Vosgien. J'ai eu personnellement l'honneur de soulever cette question tant auprès de Président de la Région, Jean-Pierre MASSERET qu'auprès du Député-maire d'ÉPINAL, Michel HEINRICH, par ailleurs président national des Schémas de Cohérence Territoriale.

Comme on dit "il n'y a plus qu'à". Et d'abord, il n'y a plus qu'à voter et faire voter pour Bernard GODFROY et sa liste et ainsi amorcer le redressement, le progrès et la prospérité.

Daniel LALLEMANT

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DU DEVOIR A LA PASSION

Publié le 6 février 2014

D'abord conseiller municipal à ISSENHEIM ( Haut-Rhin) et président de la commission des finances, puis, revenu définitivement à REMIREMONT, j'ai été appelé en 2008 par René POIRSON, maire de Dommartin à le rejoindre pour exercer comme adjoint aux finances.

CONTRIBUABLES ASSOCIÉS a accordé à Dommartin la meilleure note de la Communauté de Communes.

REMIREMONT recueillant la note la plus basse.

C'est pendant ces six années 2008-2014 que j'ai , hélas, été forcément témoin de la dégradation lente mais continue et préoccupante de la situation de REMIREMONT : situation financière, économique, sociale et sociétale, des gaspillages d'argent, de l'hémorragie de population (100 par an, en moyenne, de la fiscalité délirante que nous subissons tous, de la dette qui grossit, sans compter les chômeurs, pardon, les demandeurs d'emploi, les incivilités, le repli de chacun sur son entourage immédiat.

Bref une ville à faire renaître.

Une expérience de huit années de sous-préfet et surtout de remise à flot d'un département m'a mis devant la responsabilité de "faire quelque chose", de mettre les capacités acquises et les moyens, les relations, au service de notre Cité. Il en est de mon devoir et d'anciens responsables romarimontains m'y ont appelé.

Ce qui est formidable, c'est que le devoir a fait place , désormais , à la passion, à l'amour de ma ville , de mes concitoyens et à l'enthousiasme d'une action à entreprendre.

Daniel LALLEMANT

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